Ashley Walter

Walter, nom hérité de sa mère puisque qu'elle ne connait même pas le prénom de son père.
Ashley. Elle n'a jamais essayé de savoir do'u venait son prénom, qui lui convient très bien.
16 ans, age ingrat comme chacun sait. Malheureusement, elle n'est pas l'exeption qui confirme la règle.

Others
Elle possède un don assez complèxe. Elle peut avoir le don d'une personne, si celle-ci le veut bien, tandis qu'elle reste à côté d'elle.


On ne peut pas vraiment dire qu’Ashley soit mignonne. Ce n’est pas le mot pour la décrire. Belle ou encore jolie irait bien mieux pour la décrire. Elle a des cheveux bruns mi-longs qu’elle ne passe jamais beaucoup de temps à coiffer. Ses grands yeux bleus innocents ont attiré plus de regard qu’ils n’en voulaient, sans même s’en rendre compte. Quelque soit la situation, elle possède toujours cet air inoffensif qui l’a beaucoup aidé petit, pour lui éviter les ennuis. Son sourire est magnifique, ne fait pas grossir ses pommettes. Quand les coins de a bouche se soulèvent, ses yeux s’allument et s’est tout son visage qui sourit, pas seulement ses fines lèvres roses. Ashley ne fait pas de complexe avec son physique, qu’elle juge secondaire. Bien sur, elle se trouve trop petite, trop ceci, trop cela. Mais ça ne l’obsède pas non plus. D’ailleurs elle aurait tord, car, bien que pas très grande, la jeune femme est pourtant très bien faite. Elle n’est pas trop maigre, sans pour autant avoir de vraies rondeurs. Si elle n’était pas aussi peu sure d’elle-même, on pourrait surement la qualifier de bombe. Mais on se contente de belle, ce qui n’est déjà pas mal, pas vrai ?

Ashley en un mot ? Timide. Un autre ? Gentille. C’est la fille la plus réservée que vous n’ayez surement jamais vu. Ca n’est certainement pas elle qui va accoster quelqu’un pour la première fois. Elle évite de donner son avis tant que possible, ne se mêle pas de ce qui ne lui regarde pas et évité les problèmes comme la peste, ce qui lui a toujours réussis jusqu'à maintenant. La jeune femme est malgré tout très attentionnée. Ces amis ne peuvent pas être tristes sans qu’elle ne s’en rende compte et intervienne. Elle trouve toujours les mots qu’il faut, sait comment réconforter les autres. Incapable de méchanceté, elle ne connait pas l’hypocrisie. Tout ce qu’elle pense, ce qu’elle a sur le cœur, elle le dit à ses amis. Sur les autres, Ashley n’a pas d’avis. Ca ne la concerne pas, ça ne l’intéresse pas. Il faut quand même admettre qu’elle n’a pas beaucoup d’amis. Car il en faut vraiment, vraiment beaucoup pour l’être. Mais, une fois que c’est fait, la jeune femme est incroyablement généreuse. Elle fera toujours passer ceux à qui elle tient avant elle-même. Cependant, c’est une humaine, elle a donc des défauts. Elle a ne certaine tendance à se refermer sur elle-même, à ne pas assez se confier. Elle encaisse, et au bout d’un moment, il faut que ça sorte, ce qui se passe en général assez brutalement. Alors timide, oui, peut-être même un peu trop …

31 Octobre 1992. Premier jour de la vie d’Ashley, et le cauchemar débute. Enfaite, non, le malheur n’a pas débuté ce jour là, je me trompe. C’est neuf mois plutôt, avant même sa naissance, que la vie de miss Walter commença à être nulle.
Un certain soir de Février – ne demander pas quel jour, tout le monde a oublié – Ann Walter est sur le trottoir, en jupe et talon aiguille, a faire les cent pas, comme tout les soirs auparavant. Quelqu’un s’arrête, l’accoste, elle rendre dans la voiture. Comme tout les soirs. Arrivé dans un hôtel, les choses continuent habituellement. Au bout de quelques temps, elle empoche l’argent et repart, pour finir la nuit dehors, dans le froid, ou dans un lit avec un inconnu. Le tout pour quelques dollars par jour, pour à peine pouvoir se droguer. Hébergée comme les autres, droguée comme les autres, exploitée comme les autres. Et bien sur, ça lui suffit. Seulement voilà, ce n’est pas qu’a ceux qui vivent le mieux qu’arrivent les plus grands malheurs. Au bout de quelques semaines, Ann eut des nausées, et surtout, pire que tout, du retard. Après trois tests de grosses et l’arrondissement de son ventre, elle fut sure d’elle : elle était enceinte. Les mois qui suivirent furent les pires de sa vie. Elle était toujours en manque, ne gagnant plus assez d’argent pour une dose, à cause de son futur bébé. Elle n’avait pas non plus assez d’argent pour avorter, ce qui l’aurait bien aidé. Ainsi, nous arrivons fin Octobre, jour de naissance de la pire erreur de la vie d’Ann.

Les premiers mois de la vie d’Ashley furent à l’image de la suite de sa vie. Catastrophiques. Sa mère n’avait aucune idée de comment s’y prendre avec elle, et personne ne l’aidait, bien sur. Le bébé avait donc toujours faim, toujours soif, toujours chaud ou froid. Elle avait la peau sur les os, n’était jamais couverte comme il le fallait et sans arrêt malade. Mais sa mère ne s’en préoccupait pas, bien trop concentrée sur les clients qu’elle avait tandis que sa petite était seule chez elle, sans surveillance ni nourriture. Alors, dés qu’elle eut l’âge, il fallut qu’Ashley se débrouille seule. Même avant d’avoir l’âge d’ailleurs. Elle fut un bébé très précoce qui, à trois ans, se nourrissait seule. Si vous aviez eu sa mère, vous auriez compris. Plus elle grandissait, plus elle devait aider chez elles, faisant à cinq ans la lessive et le ménage, allant seule à l’école et imitant la signature de sa mère. Puis, il fallût encore que tout aille plus mal, si c’était possible. An était morte. Jamais sa fille ne chercha à savoir comment, jamais elle n’eut envie d’apprendre l’histoire, qu’on ne fut que trop soulagé de lui cacher. C’est donc à l’âge de sept ans qu’elle alla en orphelinat. Mais ça ne plaisait pas à Ashley, tous ces enfants autour d’elle. Sa mère lui manquait malgré tout. Elle cessa donc de manger, de parler, de faire quoi que se soit qui demandait plus que d’inspirer et expirer. C’est à ce moment là qu’entre en jeux Eleanor Bridge. A ce moment là que la vie d'Ashley a changé. Quand elle avait dix ans. Ce n’était pas trop tôt.

On avertit Ashley qu’elle allait entrer dans une école ou elle était inscrite depuis toute petite. Celle-ci douta fort que s amère ne l’aie inscrit dans quelque école que se soit, mais s’abstins de commentaire, trop heureuse de quitter cette école. Arrivé là bas, elle comprit alors qu’elle était spéciale, qu’ils étaient tous spéciaux. Elle pouvait en effet avoir les dons d’autrui avec leurs accords. Car oui, chacun ici avait des dons. La bas la jeune femme grandit et trouva quelqu’un qui vint l’aider dans sa solitude, Colleen Hudson, éducatrice la bas. Elles s’entendirent aussitôt. Ainsi, Ashley atteignis ses seize ans en pleine forme, un peu moins renfermée et même entourée d’un peu d’amour. Elle rencontre finalement Zac Walsh, de qui elle tomba amoureuse, sans malheureusement réussir à l’exprimer. Mais, ne l’oublions pas, elle a seize ans et toute la vie devant elle. Alors, que nous dit l’avenir ?


[*]Partie RPG :Journée nulle, depuis le début. Aujourd’hui, c’était une journée sans, et il fallait faire avec. Tout avait commencé à mon réveil je crois. Tout d’abord, un premier coup d’œil au réveil m’appris qu’il était six heures, que je n’avais donc pas du tout mes heures de sommeil. Et, comme je savais qu’une fois réveillée je ne pouvais pas me redormir, je n’essayais même pas. Je me levais et regardait derrière les rideaux. Et, forcément, il pleuvait. Je ne pus m’empêcher de pousser un soupir avant de me diriger vers la salle de bain. Une bonne douche froide comme je les aimais me remit un peu de bonne humeur et je rentrais à nouveau dans le dortoir de meilleure humeur, en serviette. Après un coup d’œil à ma garde robe, je choisis un jean et un pull noir pour la journée. Quand je sortis enfin dans le couloir, il était vide, bien que je pensais avoir pris mon temps. Ma montre m’apprit qu’il n’était cependant que sept heures trente, donc ça ne m’étonna pas. Je me fis le plus discrète possible tandis que je traversais le château. Quand j’étais seule, j’avais toujours l’impression de faire beaucoup trop de bruit, et tentais donc de limiter au maximum le bruit de mes chaussures sur le carrelage. Je passais par le hall avant de rejoindre la cafèterait, elle aussi vide à cette heure là de la journée. Ca, sa m’étonna jusqu'à se que je me rappelle que l’on était Samedi. Même si c’était un jour comme les autres, la plupart des gens se levaient un peu plus tard. Sans bruit, je pris mon petit déjeuner. J’avais à peine commencé qu’un autre groupe d’élève arriva. Ils ne faisaient, eux, aucun effort pour être silencieux. On aurait plutôt dit qu’ils faisaient un concours de bruit. Je dus donc manger dans le bruit, ce qui avait le don de m’énerver dés le matin. Je me dépêchais de finir mes tartines avant de filer à la bibliothèque.

Le sujet qui m’intéressait surtout en ce moment, c’était l’histoire de l’école. Je ne trouvais que peu de chose à son sujet, ce qui avait le don de me tracasser. Car moins on en sait, plus on veut en savoir, pas vrai ? Je passai donc l’heure suivante à feuilleter les différents documents que je trouvais, n’apprenant malheureusement pas grand-chose. Tous les livres donnaient les quelques mêmes deux ou trois informations, évitant de mentionner ce qui m’intéressait, comme la date de création de l’école, l’inventeur de l’établissement etc... Je ne sais pas pourquoi je voulais savoir ça. Peut-être parce que, ayant grandis ici, je trouvais que l’histoire de cette école était aussi la mienne. Et comme je ne me rappelais que peu ma vie d’avant, je considérais presque qu’elle avait débuté ici. Ce qui n’était pas forcement faux. Déçue de n’avoir pas fait plus de découverte, je sortis quelques heures plus tard de la bibliothèque. Je faisais la tête, et c’est bien sur à ce moment là que je croisais Zac. Celui-ci me sourit et j’eus du mal à lui rendre. Il dut sans doute me prendre pour une véritable teigne. Alors, j’accélérai le pas et sortit dans le parc, histoire de ma changer les idées. Voilà comment je me suis retrouvée ici, sous le sapin. Quand je vous dis que c’était une journée nulle ! Je regardai les élèves, très nombreux à présent, aller et venir. Et moi, seule, assise au pied d’un arbre. Dés qu’un élève faisait mine de venir vers moi, je ne le regardais volontairement pas, évitant ce regard, ce qui avait le don de faire fuir. Et en plus, je faisais ça à chaque fois …



Alexis Bledel
6/7 ou 7/7

Sur un rpg partenaire
Très zolii !

Nop'

Waw, bienvenue mamzelle !
Rien à redire, si ce n'est que je suis très heureuse que tu nous aies rejoints !
J'espère que tu te plairas parmi nous, nous [je en tout cas :-°] sommes impatients de te découvrir dans la partie RpG, donc n'hésite pas ! ;P
Et si tu veux venir lier connaissance avec les membres eux-mêmes, la partie hors-jeu t'est grande ouverte.
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à demander renseignement à Sidney ou à moi, mais il me semble que tu as déjà pas mal d'expérience et que donc cela ne sera pas vraiment utile.. Quoiqu'il en soit, notre messagerie te sera toujours ouverte =]
Encore Bienvenue et à très bientôt..!

Et bien ... Merci beaucoup pour cet accueil,
je suis très contente de vous avoir rejoins,
et impatiente de jouer ! =)